Jigoku-no-Gakuen
Jigoku-no-Gakuen
Jigoku-no-Gakuen
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.

Jigoku-no-Gakuen

Une académie pas comme les autres, où les vampires sont supérieurs, les hybrides inférieurs et entre eux sont classé plusieurs catégories allant de l'humain aux démons. Et vous qui serez vous? Un vampire tyranique? un humains? un hybride esclave?etc...
 
AccueilDernières imagesRechercherS'enregistrerConnexion

 

 Contexte

Aller en bas 
AuteurMessage
An'Thea Telkien

An'Thea Telkien


Messages : 2
Date d'inscription : 14/03/2010
Age : 28
Localisation : Derrière toi, en principe

Contexte Empty
MessageSujet: Contexte   Contexte Icon_minitimeMer 17 Mar - 20:08

Chapitre premier : les bombes, la Mort, l’horreur, et le récit d’un massacre
On estimait, à quelques dizaines d’années, la fin de la Seconde Guerre mondiale. Non… Si cela faisait déjà plus de cent ans déjà, voire deux cents, on ne pouvait pas dire une dizaine d’années. La Seconde Guerre mondiale a permis l’avancée technologique : le futur a approfondi ces recherches, cette avancée et a bientôt découvert ceci : il n’existe pas que des humains et des animaux. Non, d’autres « races » furent découvertes : vampires, démons, anges… D’autres étaient crées : les hybrides. Mélange d’humain et d’animal, il s’agissait au départ d’une expérience, laissée pour ratée : les scientifiques avaient essayé de combiner les gènes d’un animal, dans le premier cas un chat, et d’un humain. L’expérience fut soi-disant ratée, sans aucun résultat, mais après trois jours, les scientifiques eurent la surprise de trouver dans leur laboratoire, dans la cuve qui servait pour ce genre d’expériences, un fœtus, doté d’une queue et d’oreilles de chat. Le bébé était une fille son nom : Neko. Il y eu d’autres expériences avec des animaux tels que le chien, le loup, le tigre : tous portaient les noms suivants en fonction de l’animal : Inu, Ookami, Tora…etc.… Les expériences ne s’arrêtaient pas là, on recensait également des enfants nés naturellement avec des gènes d’animaux. On disait que c’était à cause de leur proximité avec les bâtiments nucléaires, ou à dangers potentiels. Mais ils n’habitaient pas tous dans des bidonvilles…
Mais bientôt, ces recherches diverses, le fait que les démons, les vampires, les anges, les sirènes existent, lancèrent divers sujets de polémique tous plus tirés par les cheveux les uns que les autres. Quand on apprit également, que des hybrides vivaient depuis longtemps passivement parmi les humains, et qu’ils en était de même pour les vampires et les démons, qui par cette passivité tentaient de survivre parmi les hommes, ça entraîna divers conflits.. D’abord par races, certains voulaient rester passifs, vivre parmi les hommes, continuer l’existence de tranquillité tant connue, d’autres voulaient se révolter, se battre… Puis les conflits s’étendirent aux villes, aux pays. Émeutes et révoltes étaient de pair, on avait certaines fois plus de dégâts que prévu : il y eut même des morts, parmi les « monstres » comme parmi les humains; c’était le début d’une guerre : la Troisième Guerre Mondiale.
L’avancée technologique avait permis de créer de nouvelles armes, et monstres comme humains y avaient accès. Les hybrides, utilisés comme esclaves depuis leur « création » furent envoyés au front. Certains s’enfuirent, désertèrent, et allèrent mener une nouvelle vie. Certains restaient dociles, et souvent, étaient capturés par des « monstres » qui en faisaient de nouveau des esclaves, ou les aidaient. Tout dépendait de la personne sur qui ils tombaient… Le conflit s’étant étendu dans le monde entier, il n’y avait plus aucun endroit sûr, et tout le monde combattait. Des villes étaient incendiées, bombardées, des femmes et des enfants enlevés, certaines fois victimes de toutes sortes d’atrocités impossibles à citer. On voyait le monde qui avait tant prospéré retomber dans décadence, violence, tuerie… Partout on voyait du sang, des morts…. Rumeurs et ragots racontaient que la Mort en personne était débordée : qui l’aurait cru ? On savait une chose, et une seule ; le monde était condamné à mourir, sans laisser de traces de civilisations, on croyait même que seuls démons et vampires vivraient, pour ensuite se livrer une guerre sans merci à qui aurait le pouvoir sur la Terre déjà ravagée ; mais beaucoup croyaient que le monde n’avait pas le droit de renaître de ses cendres, partout on croyait que c’était la fin. Pendant des années, et des années, plus de dix, mais moins de quinze, le chiffre maudit : le chiffre 13... Treize années de guerre sans fin, et un jour, tout s’arrêta. La raison était des plus enfantines : il n’y avait plus personnes pour travailler aux usines, plus personnes pour fournir l’armement, et le ravitaillement. Le monde, lui, se remettait petit à petit, doucement. Les cendres n’étaient que peu balayées par le vent, et l’eau des océans étaient, disaient des gens, encore rouges du sang des morts. Les villes, ravagées, cherchaient de l’aide sans réponse, leurs habitants, dépassés, essayaient de redonner un sens à leur vie, acceptant n’importe quelle aide : qu’elle soit ou non humaine. Des villes furent reconstruites, des civilisations retrouvées, de vieilles coutumes remises à leur place… Le monde renaissait…

Chapitre deuxième : un monde d’après guerre, le pic de délinquance oblige…
Un monde d’après guerre, ça n’est pas rose. En même temps que le monde se reconstruisait, on accusait les syndicats, et les lanceurs des débats qui avaient mené à la Troisième Guerre Mondiale. Les Treize maudites étaient finies depuis quinze années déjà, et la délinquance connaissait un pic sans précédents. Partout des gens, ados ou vieux, intègres ou pas, honnêtes gens ou malfrats, manifestaient leur mécontentement, tant refoulé pendant l’horreur de la guerre, qui les avaient réduits au silence, soit par la peur des balles, soit par la peur elle-même. Ce n’était pas au temps des récits, où les grands-parents racontaient à leur petits-enfants leurs prouesses, leur courage pendant la guerre. Non. C’était un monde tout autre : on ne parlait pas de la guerre, on parlait des démons, des vampires, des sirènes, des anges et des hybrides. Quel était leur avenir ? Certains pensaient « Ils ont le droit de vivre comme nous. Ils nous ont même aidé à nous remettre, et ils ont parfois combattu avec nous. » D’autres disaient « Ils doivent mourir ! Les créatures de leur genre ne sont pas faites pour vivre ! » Mais les démons, les vampires, et les autres… Eux, pensaient tout comme leurs congénères humains : les hommes doivent vivre parce que… les hommes doivent mourir à cause de… Le pic de délinquance était vraiment impensable, surtout chez les jeunes. Des casses étaient organisées, des « flash mob , ces rassemblements massifs… Partout on pensait au pire, s’attendait au pire, et pour finir : on voyait, on assistait ou on participait à ce Pire tant redouté. Le pire était bien parmi eux, humains comme monstres. Monstres, oui, ce terme cent fois répété : c’est ainsi qu’on les appelle, non, les personnes non humaines, des monstres.
Pour réfréner la violence des jeunes, il fut créé des centres : tous brûlèrent pendant un incendie volontaire. Les occupants du premier centre montrèrent leur mécontentement de la sorte, plusieurs centaines de vie furent volées, dans le personnel comme dans les « patients ». On murmurait, en voyant toute cette horreur : « On nous avait dit, la guerre, c’est fini. Ces treize atroces années sont finies ! Et voyez vous ! tous ces délinquants qui arpentent les rues ! J’en ai même peur pour mon chien, vous savez, mon inu, il est tellement docile ! » Les inus, les hybrides en somme. D’autres expériences avaient eu lieu : des oiseaux, des lapins… Il y en avait presque de toutes sortes ! On croyait souvent à des chimères, mais ils étaient bien réels. La délinquance, elle était plus que réelle. Elle était présente partout, où que chacun aille, elle était là. Dans leurs esprits, dans leurs cœurs, dans leurs yeux, leurs gestes… Impossible de savoir où, quand et comment elle allait frapper, faire de nouvelles victimes. Ce mécontentement, qui disait : CETTE SATANÉE GUERRE, C’EST VOTRE FAUTE ! Ce mécontentement tant réprimé, il aurait du éclater pendant la guerre, et ainsi la stopper. Mais, encore une fois ; non. Le canon d’une arme sur la tempe, la menace d’une bombe sur la maison, la promesse de l’incendie des corps des proches, tout cela avait réprimé représailles envers les meneurs de cette guerre, et envers le frein qui avait tant voulu ronger la chaîne de l’accélérateur, et stoppé la guerre. Les atrocités continuaient, et elles perdurent…

Chapitre dernier : Jigoku no Gakuen, ou la création d’un monde nouveau. La délinquance maîtrisée ?
On pensait la délinquance enfin maîtrisée. Comment ? Par la création de divers écoles, spécialisées. Elles avaient pour but d’apprendre aux monstres à s’intégrer en société ; car on ne voulait plus d’autre guerre à cause de leur différence, et du fait qu’ils aient existé depuis plus longtemps que les humains ; et à cohabiter avec des humains. Aussi, les humains étaient-ils admis dans ces écoles. Ces écoles, étaient aussi destinées à réprimer la délinquance, à rééduquer les jeunes difficiles. Parfois même par d’horribles punitions, comme des coups de fouets… et bien d’autres sévices. On prônait la bienfaisance de ces écoles, il n’en était que de la poussière. Parmi ces écoles, la « nôtre » : Jigoku no Gakuen. Ce fut la troisième créée, sur une île, en même temps à l’écart et rattachée au monde. C’était assez étrange, mais c’était ainsi. Jigoku No Gakuen avait une particularité : elle suivait la hiérarchie qui disait « Vampires et Démons sont Maîtres, Hybrides sont Esclaves, les Autres choisissent leur propre camp. » C’était la hiérarchie cent fois vue au cours des années précédentes.
Les personnes généralement envoyées dans ces écoles, on ne leur demandait pas leur avis… Ils étaient envoyés là bas, enseignants comme étudiants, du collège jusqu’au lycée, internes ou civils de la ville avoisinante, personnel ou mauvais élèves.. Leur « unique chance de salut » d’après les nouveaux gouvernements, était ces écoles.
Pendant ce temps, le monde, continuait de se remettre petit à petit. Le pic de délinquance commençait à être maîtrisé…


L’avenir d’un monde nouveau n’appartient qu’à toi. Renaître de ses cendres, c’est comme un Phoénix. Il meurt, puis renaît. Ton monde est semblable, tout comme tes rêves. La jeunesse est l’avenir du monde.
Revenir en haut Aller en bas
 
Contexte
Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Jigoku-no-Gakuen :: Avant propos :: Histoire-
Sauter vers: